Titre : Zouck
Auteur : Pierre Bottero
Edition : Tribal Flammarion
Genre : drame
Nombre de pages : 153
Prix : 7.50€
Résumé :
“Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu'elle partage avec sa meilleure amie, Maiwenn. Jusqu'au jour où elles s'éloignent l'une de l'autre. Zouck, obsédée par l'idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante…”
Avis :
Je connaissais Pierre Bottero grâce à La Quête d'Ewilan que j'avais adoré; c'est donc avec plaisir que j'ai commencé Zouck. J'ai bien aimé ce livre, de part le fait qu'il traite de la danse, mais aussi de sujets plus graves comme l'anorexie.
Ce roman est certes très court, mais je pense qu'il n'avait pas besoin d'être plus long pour faire passer le message qu'a réussi à faire passer l'auteur.
J'ai apprécié pouvoir suivre la réaction de Zouck face à un commentaire blessant sur elle : cela montre le pouvoir et l'importance des mots sur les gens. Elle qui prenait tant de plaisir à danser, n'arrive plus à s'épanouir à cause d'une remarque vexante.
J'ai aussi aimé ce qu'apportait Maïwenn à l'histoire : on ne peut pas se sortir du pétrin si on est seul.
Citation :
“Quand je danse jazz, mon corps et ma tête s'envolent comme lorsque je danse classique, mais ils vont dans une autre direction. Quelque chose d'animal, de sensuel se greffe sur la sensation de légèreté et de liberté qui m'envahit. La différence est infime et énorme à la fois. La danse classique, c'est le bonheur de l'envol, le jazz, c'est un monde qui pulse.”
Note :
8/10
Auteur : Pierre Bottero
Edition : Tribal Flammarion
Genre : drame
Nombre de pages : 153
Prix : 7.50€
Résumé :
“Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu'elle partage avec sa meilleure amie, Maiwenn. Jusqu'au jour où elles s'éloignent l'une de l'autre. Zouck, obsédée par l'idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante…”
Avis :
Je connaissais Pierre Bottero grâce à La Quête d'Ewilan que j'avais adoré; c'est donc avec plaisir que j'ai commencé Zouck. J'ai bien aimé ce livre, de part le fait qu'il traite de la danse, mais aussi de sujets plus graves comme l'anorexie.
Ce roman est certes très court, mais je pense qu'il n'avait pas besoin d'être plus long pour faire passer le message qu'a réussi à faire passer l'auteur.
J'ai apprécié pouvoir suivre la réaction de Zouck face à un commentaire blessant sur elle : cela montre le pouvoir et l'importance des mots sur les gens. Elle qui prenait tant de plaisir à danser, n'arrive plus à s'épanouir à cause d'une remarque vexante.
J'ai aussi aimé ce qu'apportait Maïwenn à l'histoire : on ne peut pas se sortir du pétrin si on est seul.
Citation :
“Quand je danse jazz, mon corps et ma tête s'envolent comme lorsque je danse classique, mais ils vont dans une autre direction. Quelque chose d'animal, de sensuel se greffe sur la sensation de légèreté et de liberté qui m'envahit. La différence est infime et énorme à la fois. La danse classique, c'est le bonheur de l'envol, le jazz, c'est un monde qui pulse.”
Note :
8/10
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